Recharger les batteries sensibles pour garder la caisse claire. Déjouer la paresse d’écrire quand la pensée politique s’impatiente et piétine de se laisser vivre au moment où la mort sévit aux quatre coins du monde.
Déjouer le sujet face à la pléthore de commentaires, dont il est difficile d’échapper, d’un quotidien génocidaire et barbare. Dire que ce qui caractérise la période c’est sa banalisation. Pourtant protéger un état second, un état sauvage d’un ressentiment d’impuissance. Faudrait pas se laisser amadouer par les im-médias normés.
Se sentir de plus en plus étranger en ce monde où se ranger; être rangé ça fait désordre… La paresse est descendue dans sa loge, dans sa geôle. Sortir du confort de s’exempter du temps qui passe.Se sentir définitive ment inconciliable avec le monde qui va. Affranchir à chaque pas la question du pas qui se pose. Avoir la tête à ça en somme ? Et reprendre cette fameuse chanson des Béruriers noirs, Salut à toi ! en Version féministe définitivement Féministe :
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